lundi 28 avril 2014

La Confrérie de la dague noire : L'Amant Vengeur.



  • ÉDITION : Milady

  • PAGES : 835

  • RÉSUMÉ :

Six vampires protègent leur espèce contre la Société des éradiqueurs. Ils sont regroupés au sein de la mystérieuse Confrérie de la dague noire.

Vhengeance vit dans l'ombre depuis toujours. Mais lorsque le vent de la rébellion se met à souffler sur la société des vampires, son intrépidité fait de lui l'homme de la situation pour assassiner Kolher, le roi. Son côté sombre meurt d'envie de profiter de l'occasion, cependant Vhengeance a d'autres problèmes, car son identité de sympathe est sur le point d'être dévoilée. C'est alors qu'il se tournera vers l'unique lumière de son univers inquiétant : une femelle vampire ignorant tout de la corruption. Ehlena. Le seul être qui pourrait le sauver de la damnation éternelle...


  • MON AVIS :

  1. La couverture : Un couple.
  2. Le paysage narratif : Retour dans l'univers des vampires pour ce 7ème tome. Entre rues désertes, riches demeures et hôpital,les actions s'enchaînent sans répit.
  3. Les personnages : Dans ce livre, il est surtout question du couple Vengeance et Ehlena, mais on retrouve aussi les autres personnages des autres tomes comme John, Xhex, Vhif, Kolher, Beth, Fhurie...
  4. Conclusion : Un livre qui suit parfaitement la série, un couple se forme et l'aventure se poursuit avec de nouvelles énigmes et toujours autant d'actions, de romantisme et d'érotisme. Une bit-lit comme j'aime, hâte de découvrir la suite.

  • EXTRAIT :

Vhen ne pouvait toujours pas croire que son appel était strictement professionnel. Elle aurait pu lui envoyer un e-mail. Elle aurait pu en parler au médecin. Elle aurait pu le balancer à une infirmière de jour pour qu'elle suive le dossier.
- Donc il n'y avait pas la moindre chance que vous ayez eu des regrets de m'avoir repoussé si durement ?
Elle s'éclaircit la voix.
- J'en suis désolée.
- Eh bien, je vous pardonne. Totalement. Complètement. vous n'aviez pas l'air de passer une bonne soirée.
Le soupir qu'elle poussa manifestait son épuisement.
- Effectivement, je n'étais pas au mieux de ma forme.
- Pourquoi ?
Encore un long silence.
- Vous êtes beaucoup mieux au téléphone, vous le savez ?
Il rit.
- Beaucoup mieux comment ?
- C'est plus facile de vous parler. En fait... c'est même plutôt facile de vous parler.
- Je m'en sors pas mal en tête à tête.


  • NOTE : 18/20

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