lundi 8 septembre 2014

Te désirer


  • ÉDITION : Michel Lafon

  • PAGES : 415

  • RÉSUMÉ :


SAUVAGE ET D'UNE BEAUTÉ RARE, EVAN BLACK INCARNE TOUT CE QUE LES FEMMES DÉSIRENT CHEZ UN HOMME. SÛR DE SON POUVOIR DE SÉDUCTION, IL CACHE DERRIÈRE CETTE HARDIESSE UN PASSE TUMULTUEUX...


"Je sais exactement quand ma vie a basculé. A l'instant précis où ses yeux ont croisé les miens et où je n'y ai plus vu le reflet insipide de l'habitude mais le danger et le feu,le désir et la faim. J'aurais sans doute dû m'enfuir. Je ne l'ai pas fait. J'avais envie de lui. Plus encore, j'avais besoin de lui. De l'homme, et du brasier qu'il avait allumé en moi...
On m'avait dit de ne pas m'approcher de lui. Peut-être aurais-je dû écouter ? M'échapper ? Mais mon désir était trop fort. Il y a des tentations auxquelles on ne peut pas résister."
                                        
                                                                                                                Angie


  • MON AVIS :

  1. La couverture : Rose rouge sur dentelle noire.
  2. Le paysage narratif : L'histoire se déroule à Chicago.
  3. Les personnages : Angélina Raine, jeune femme ambitieuse ayant effectué des études dans le monde politique, a deux personnalité : Angie, la jeune femme sage et prévenante mais aussi Lily, la dévergondée toujours en manque d'adrénaline. Evan Black est un  homme plein de charmes et de secrets avec  un caractère fort et dominateur. 
  4. Conclusion : L'histoire d'amour entre Evan et Angie est passionnante. C'est aussi avec plaisir que je retrouve cette auteur que j'avais apprécié pour sa trilogie "Délivre-moi".

  • EXTRAIT :

Mais l'instant passa. Evan se retourna pour regarder le lac obscur au loin.
Le silence s'installa un moment. Puis il dit, à voix basse, d'un ton neutre : 
- Il m'arrive de penser à sauter, moi aussi.
- Suicidaire ? dis-je malicieusement.
Il se retourna vers moi et je ne vis dans ses yeux ni du désir ni de la chaleur, mais de la détermination pure et dure.
- Non. Arrogant.
Mes sourcils se froncèrent de confusion.
- Je suis assez arrogant pour penser que je peux contrôler ma propre chute, clarifia-t-il.
- Mais tu ne peux pas, dis-je, en pensant à ma sœur. A ma vie. A mon oncle. Personne ne peut.
Son sourire s'élargit encore, si sexy que c'en était presque douloureux. Il avait aussi l'air désespérément triste. Il tendit la main et caressa doucement ma joue.
- Tu verras.


  • NOTE : 16/20