A CORPS PERDUS : Succomber

• AUTEUR :Maya Banks

• ÉDITION :Milady Romantica

• PAGES : 412

• RÉSUMÉ :

Jamais l'invitation au voyage érotique n'a été si délicieusement indécente...

L'amour parfait, Joss l'a connu, mais l'a aussi perdu pour toujours. Désormais veuve, elle décide d'assouvir le seul fantasme auquel son défunt mari ne se soit pas prêté : la domination. En quête d'un exutoire à son chagrin et rêvant de ressusciter le bonheur passé, elle s'aventure dans un club échangiste sélect, censé pourvoir aux désirs les plus débridés. Elle est alors loin d'imaginer qu'elle va tomber sur celui qui, après la mort de Carson, a été sa seule source de réconfort... et qui la convoite en secret depuis toujours : le meilleur ami de son mari.
L'idée de trahir l'être cher qui les a réunis leur est insupportable, et pourtant...

• MON AVIS :  

C'est avec plaisir que je retrouve Maya Banks, découverte avec sa trilogie "A fleur de peau". (RUSH, FEVER et FIRE).

Cette histoire, bien que d'un tempérament très érotique, à la version 50 nuances de Grey, a beaucoup d'autres aspects cachés. Le premier, le plus présent dans ce livre, est la force de caractère de Joss. En effet, veuve depuis trois ans, cette jeune-femme décide par elle-même de se reprendre en main et de vivre des expériences nouvelles qu'elle ne pouvait pas réaliser avec son défunt mari. Le deuxième, est pour moi la profonde amitié qui liait Dash à Carson. Malgré les sentiments que Dash éprouvait pour Joss bien avant la mort de Carson, celui-ci attendra la fin du deuil de cette dernière pour enfin lui révéler ses sentiments.

J'ai été ravi de constater que comme pour sa trilogie précédente, Maya Banks incorpore les personnages principaux du deuxième tome vers la fin de celui-ci.

• EXTRAIT :

Il retira une casserole du feu, puis s'avança vers elle. A sa grande surprise, il glissa sa main autour de son cou et lui donna un baiser sur la bouche.
- J'ai si longtemps rêvé de cet instant, murmura-t-il contre ses lèvres. Va au salon, tu seras plus à l'aise. Je vais apporter un plateau.
Et, sur ces mots, il retourna aux fourneaux, après lui avoir lancé un long regard qui indiquait combien il regrettait cette séparation momentanée.

• NOTE :18/20