- AUTEUR : Christina Lauren
- ÉDITION : Hugo Roman
- PAGES : 145
- RÉSUMÉ :
L'enterrement de vie de garçon de Bennett, le Beautiful Bastard,
L'organisation diabolique de Max, le Beautiful Stranger,
Leurs fiancées Chloé et Sara de plus en plus incontrôlables,
Un week-end inoubliable entre copains à Las Vegas.
L'organisation diabolique de Max, le Beautiful Stranger,
Leurs fiancées Chloé et Sara de plus en plus incontrôlables,
Un week-end inoubliable entre copains à Las Vegas.
Quand les amis de Bennett l'arrachent à Chloé pour son enterrement de vie de garçon à Las Vegas, tout ne se passe pas exactement comme prévu. Leur projet de week-end de copains -entre casinos et stripteasseuses -déraille totalement. Max et Bennett inventent n'importe quel prétexte pour fausser compagnie à leurs camarades de débauche et retrouver en secret leurs fiancées respectives. Mais quand Will Sumner, le célibataire endurci, fait, les prend sur le fait, ils réalisent qu'il vaut mieux s'en faire un complice s'ils veulent continuer à profiter de leurs escapades torrides à Vegas...
Chloé et Bennett, les héros de Beautiful Bastard, sont de retour pour de nouvelles incartades, en compagnie de Max et Sara, le couple de Beautiful Stranger. Si ce qui se passe à Vegas reste à Vegas, ils pourraient bien ne plus jamais vouloir partir !
- MON AVIS :
- La couverture : La poitrine d'une jeune femme cachée par ses cheveux sur fond violet.
- Les personnages : Les deux couples des tomes précédents ainsi que Will le célibataire au sens de l'humour corrosif et collègue de Max.
- Le paysage narratif : Tout le roman se passe à Vegas entre casinos, hôtels et club de striptease.
- Conclusion : Une très bonne nouvelle qui complète agréablement la série. Hâte de découvrir les prochains volumes.
- EXTRAIT :
Je lève les yeux et rencontre les siens. Je sais qu'il a organisé soigneusement toutes nos activités de la nuit. Mais vraiment, nous sommes seulement vendredi soir et nous en avons jusqu'à mardi. Cela compterait-il vraiment si je m'éloignais pour une heure ?
Il se penche en avant, attrape mon avant-bras en éclatant de rire.
- N'y pense même pas, Bennett !
Il se penche en avant, attrape mon avant-bras en éclatant de rire.
- N'y pense même pas, Bennett !
- NOTE : 18/20
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