mercredi 21 septembre 2016

Attirance : Le baiser des sirènes.



 # ÉDITION : Milan Macadam # PAGES : 317

  • RÉSUMÉ :
Quand l'amour devient un piège mortel...

Lily pensait que son petit ami était un type
 normal. Mais Calder cache un terrible secret :
 il fait partie d'une fratrie de sirènes meurtrières,
 qui puise l'énergie vitale des humains en leur ôtant
 la vie. Calder et ses sœurs n'ont qu'un but :
 venger la mort de leur mère en tuant le coupable.
 Et cet homme n'est autre que le père de Lily...

  • MON AVIS :  

Si vous aimez les contes de fées et les jolies sirènes, passez votre chemin, il est plus que certains que ce roman n'est pas pour vous. Pour les aventuriers et les fans de surnaturel, ce livre peut être un bon divertissement.

Comme vous l'aurez deviné en lisant le résumé, ce livre est initialement basé sur une vengeance. Les trois sœurs sirènes veulent punir le père de Lily de la mort de leur mère. Alors c'est Calder qui s'y colle en séduisant Lily et en essayant d'accomplir les demandes spécifiques des sirènes.

Vous vous doutiez bien que si ce roman était que sur la vengeance, il serait vite fini. Mais pas du tout, vous y découvrirez également une histoire d'amour et comme dans toute bonne famille des secrets et des disputes.

Un bon petit livre, je me laisserais peut-être tenter par la suite. Et vous, connaissez-vous cette histoire ? N'hésitez pas à me donner votre avis.

  • EXTRAIT :
  Lorsque la séparation des os commença, je me cambrai, préparé à la douleur. Mordant ma lèvre inférieur jusqu'au sang, je me tordit dans le sable tandis que l'air me brûlait les poumons. Une minute plus tard, les derniers tremblements parcoururent mes orteils, et je me retrouvait pantelant, toussant l'air sec.
  J'étais nu et incapable de courir - bref, vulnérable. Tallulah m'adressa un clin d’œil. Levant les yeux, je regardai l'eau ruisseler sur son corps, formant sur ses bras de petits sillons qui venaient s'écouler au bout de ses doigts. L'arrière de ses jambes nues était encore rouge du récent traumatisme.
  Au bout d'une minute, ma respiration se calma. M'aidant de mes mains, je me traînai sur le sable sec et me forçai à me lever. Mes sœurs étaient sur la plage, vêtues des vieilles nippes jaunies que contenait le sac de toile de Maris. L'anneau argenté s'estompait déjà sur leur cou. Pavati me lança un short élimé tout en jetant du bois sur un petit feu de camp. Maris embrocha mon ami l'esturgeon.

  •   NOTE :16/20

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